Vous êtes ici : Accueil :: 5.HISTOIRE :: HOMMES CELEBRES
Naviguez : Remonter d'un niveau


Cette page est directement tirée du site officiel de l'ARMEE DE L'AIR
Pour tout savoir sur l'actualité de l'armée de l'air
consultez le site officiel en allant a la page suivante dans votre navigateur
http://www.defense.dicod.defense.gouv.fr/sites/air/index.html







ADER, Clément (1841-1925):
- Ingénieur talentueux et inventeur fécond, il construit entre 1882 et 1889 un avion - le terme vient de lui - baptisé l'Eole et avec lequel il effectue le 9 octobre 1890 un premier envol dans le parc du château d'Armainvilliers. Sa contribution aux premiers pas de l'aéronautique ne se limite pas à ses inventions : en 1909, il publie L'aviation militaire, ouvrage dans lequel il anticipe quelques uns des développements ultérieurs de l'aviation militaire.

ROQUES, Pierre Auguste,(général) (1856-1920) :
- Polytechnicien, Pierre Auguste Roques fait d'abord carrière dans le génie aux colonies. En 1906, le colonel Roques succède au directeur du génie au ministère de la Guerre, le général Joffre, et devient général peu après. En novembre 1910, il est nommé inspecteur permanent de l'aéronautique, chargé d'acheter les appareils, de mettre sur pied la formation des pilotes, d'aménager les terrains, d'élaborer la doctrine d'emploi et de faire voter à la Chambre les lois de finances et d'organisation, missions dont il s'acquitte en deux ans. Il est nommé ministre de la Guerre de mars à décembre 1916 et meurt en février 1920. 





BARÈS, Edouard, (général)(1872-1954) :
- Saint-Cyrien de formation, il est breveté pilote en août 1911 et participe comme observateur à la première guerre des Balkans (1912). En septembre 1914, le général Joffre le nomme chef du service de l'aéronautique au grand quartier général (GQG), avec mission d'organiser l'aéronautique aux armées. S'il n'est pas le premier à avoir imaginé une aviation répartie en différentes spécialités, il faut lui reconnaître le mérite de les avoir effectivement créées : chasse, reconnaissance et bombardement.


GARROS, Roland (1888-1918) :
- Breveté pilote en 1910, recordman d'altitude en 1912 avec 5 610 m, il effectue la première traversée aérienne de la Méditerranée en 1913. Pilote de chasse en 1914, il est fait prisonnier en avril 1915 après avoir abattu trois avions allemands. Evadé d'Allemagne en 1918, il rejoint son ancienne escadrille et trouve la mort en octobre 1918. C'est à lui que l'on doit le premier système de tir aérien efficace à travers l'hélice.


GUYNEMER, Georges, (capitaine) (1894-1917) :
- As de la Première Guerre mondiale (53 victoires homologuées), il contribue à rendre célèbre l'escadrille n°3 "CIGOGNES". Il est abattu à bord de son appareil, Le Vieux Charles, le 11 septembre 1917. Héros légendaire dont la devise "faire face" a été adoptée par l'Ecole de l'air lors de sa création en 1935.


de ROSE, Jean-Baptiste Charles,(commandant) :
- Chef d'escadron de dragons, chef de l'aéronautique de la Vème armée, est une figure légendaire de l'aviation française. Il a en effet l'honneur d'être le premier aviateur breveté militaire, comme l'atteste son brevet de pilote qui porte le numéro 1, et c'est lui qui forme, en mars 1915, la première escadrille de chasse, la MS-12. En février 1916, la France lui confie le regroupement de plusieurs escadrilles pour faire face aux chasseurs allemands dans le secteur de Verdun. Il mérite alors le titre de "père de la chasse française".


DUVAL, (général) :
- Appelé à la tête de l'aéronautique aux armées le 2 août 1917, il exerce en outre les fonctions d'aide-major au GQG. En septembre 1918, Pétain le nomme premier aide-major chargé des opérations et des renseignements, tout en lui conservant les fonctions de commandant de l'aéronautique aux armées. Venu de l'infanterie, Duval fut toujours convaincu de la nécessité d'un emploi en masse de l'aviation. On lui doit la création en 1918 de la division Duval.





LAURENT-EYNAC, André (1886-1970) :
- Militant du parti radical et radical-socialiste, il est élu député de la Haute-Loire en 1914 et rejoint la même année une escadrille de reconnaissance. Dès lors, il se fait le défenseur acharné de l'aviation. Il est nommé en 1921 sous-secrétaire d'Etat à l'aéronautique civile. En 1928, Poincaré lui confie la responsabilité de créer et organiser le ministère de l'Air, à la tête duquel il reste jusqu'en 1930. Il retrouve de nouveau ce poste du 21 mars au 16 juin 1940.


COT, Pierre (1895-1977) :
- Membre du parti radical et radical-socialiste, il siège au Parlement de 1928 à 1940, comme député de Savoie. Nommé ministre de l'air en 1933, il conserve son portefeuille dans les cabinets Daladier, Sarraut, Chautemps et à nouveau Daladier. Pierre Cot devient par la suite ministre du commerce dans les cabinets Chautemps et Blum, de janvier à avril 1938.



LA CHAMBRE, Guy (1898-1975) :
- Ministre de l'Air de janvier 1938 à mars 1940, on lui doit l'ultime effort de réarmement aérien français. Celui-ci fut cependant insuffisant, en dépit d'achats de matériels américains (Curtiss P-36). Au procès de Riom (mars 1942), le Régime de Vichy l'accuse d'être l'un des principaux responsables de la défaite.


VUILLEMIN, Joseph, (général) (1883-1963) :
- En février 1938, Guy La Chambre l'appelle à la tête de l'armée de l'air, comme chef d'état-major général et inspecteur général de la défense aérienne du territoire. Le 24 juin 1940, il est nommé inspecteur général de l'armée de l'air, chargé de la coordination des opérations aériennes de défense.


BERGERET, Jean, (général) (1894-1956) :
- Après une carrière rapide et brillante dans l'infanterie puis l'aviation, le général Bergeret fait partie de l'état-major interrallié en 1939-1940 avant d'être désigné comme ministre plénipotentiaire de la délégation chargée de signer l'armistice en juin 1940. Nommé secrétaire d'état à l'air en septembre de la même année par le gouvernement de Vichy. Il passe en Afrique du Nord au moment du débarquement anglo-américain de novembre 1942, entre ensuite dans le conseil impérial de l'amiral Darlan puis dans le comité de guerre du général Giraud. Relevé du commandement en chef des forces aériennes en AOF par le général de Gaulle, il est arrêté et reste emprisonné pendant plusieurs années.


VALIN, Martial, (général) (1898-1980) :
- Saint-Cyrien, il opte pour l'aviation en 1927. En février 1941, il rejoint Londres et est nommé, en mars, chef d'état-major des forces aériennes françaises libres (FAFL). Il devient chef d'état-major de l'armée de l'air en octobre 1944. De 1946 à 1968, il est membre du conseil supérieur de l'armée de l'air, et inspecteur général de l'armée de l'air de février 1947 à mai 1955.

BOUSCAT, René, (général) (1891-1970) :
- Rallié au général de Gaulle, il est nommé chef d'état-major général des forces aériennes françaises le 1er juillet 1943 et réalise la fusion en une seule armée des FAFL et des forces d'Afrique du Nord. De novembre 1944 à juillet 1945, il est commandant en chef des forces aériennes engagées et devient chef d'état-major général de l'armée de l'air de février à septembre 1946.




LECHÈRES, Charles, (général)(1895-1960) :
- Membre du conseil supérieur de l'armée de l'air et inspecteur des forces aériennes d'outre-mer, il est nommé en février 1948 chef d'état-major général de l'armée de l'air, et ce jusqu'en août 1953.


DASSAULT, Marcel (1892-1986)
: - L'avionneur Marcel Bloch prend le nom de Dassault après 1945. Après plusieurs bons appareils construits avant-guerre -Bloch 151, Bloch 174, etc-, on lui doit après-guerre, l'Ouragan, la série des Mystère, ainsi que celle des Mirage.





baniere

that' all folks ! !

Reduire le glossaire Fermer le glossaire

    .     A     B     C     D     E     G     H     I     J     L     M     N     P     S     U     V